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Décryptage
Depuis 2020, les bulletins de paye des enseignants sont dématérialisés : ils ne sont plus déposés dans...
Publié le 12/04/2021
Lire la suiteDepuis 2020, les bulletins de paye des enseignants sont dématérialisés : ils ne sont plus déposés dans votre casier mais envoyés dans votre « espace ENSAP ». Certes ils vous parviennent beaucoup plus tôt, mais vous ne les comprenez pas mieux qu’avant ! Voici les réponses à vos questions.
Quel montant vais-je réellement percevoir ?
Le bulletin de paye des enseignants, comme celui de tous les agents de la Fonction publique, présente chaque mois les différents éléments qui permettent le calcul de leur rémunération.
Parmi ces « nombreux nombres », l’information qui nous intéresse tous, c’est le « net à payer », en bas à droite du bulletin. Il s’agit en effet du montant réellement versé à la fin du mois concerné. Il peut varier d’un mois à l’autre car une partie des éléments qui le composent n’est pas fixe.
Comprendre en détail tous les éléments du bulletin de paye n’est pas utile si l’on n’est pas gestionnaire de paye. Toutefois, mieux vaut en connaître les grandes lignes et être capable de vérifier que votre changement d’échelon ou vos heures supplémentaires ont bien été pris en compte.
Comment calculer mon « traitement brut » ?
Pour comprendre votre bulletin de paye, il faut d’abord vous intéresser au « traitement brut ». C’est l’élément principal de votre rémunération, présenté sur la première ligne de la partie centrale du document.
Son montant est le résultat de ce calcul : on multiplie l’indice de l’enseignant par 4,686025, la valeur monétaire actuelle au 1er février 2021 du point d’indice. Votre indice (qu’on dit « majoré ») dépend :
- du corps auquel vous appartenez (professeur des écoles, certifié, agrégé…) ;
- de votre grade (classe normale, exceptionnelle, hors classe) ;
- et de votre échelon (1, 2, 3…).
Votre indice, de même que votre grade et votre échelon, figurent dans la partie supérieure de votre bulletin de paye. À chaque corps d’enseignants correspond une grille indiciaire qui fixe l’évolution de l’indice au cours de la carrière.
Par exemple, un professeur des écoles ou un professeur certifié stagiaire, au 1er échelon de la classe normale, est à l’indice majoré 390. On multiplie ce nombre par 4,686025 : son traitement est de 1827,55 € brut mensuel.
Après une année, cet enseignant devient titulaire et passe au 2e échelon avec un indice majoré de 441. Son traitement brut mensuel atteint donc 2066,54 €.
Accédez à votre grille indiciaire et à son mode d’emploi sur https://vocationservicepublic.fr/grille-indiciaire
Quelles primes et indemnités s’ajoutent au traitement brut des enseignants ?
Les différentes primes et indemnités dépendent de votre situation particulière, sur le plan professionnel et personnel. Ainsi, vous pouvez percevoir par exemple :
- l’indemnité de résidence, si la situation géographique de votre établissement en donne le droit ;
- le supplément familial de traitement (SFT), si vous avez au moins un enfant à charge ;
- des heures supplémentaires d’enseignement, annuelles ou effectives (HSA ou HSE), si vous en faites ;
- l’indemnité de suivi et d’accompagnement des élèves (ISAE), si vous enseignez dans le premier degré ;
- la part fixe de l’indemnité de suivi et d’orientation des élèves (ISOE), si vous enseignez dans le secondaire, ainsi que sa part modulable, si vous êtes professeur principal ;
- l’indemnité de sujétion spéciale (ISS), si vous dirigez une école ;
- l’indemnité de mission particulière (IMP), si vous êtes référent numérique, coordonnateur de discipline, de niveau, etc.
Cette liste présente des primes et indemnités en vigueur au 1er janvier 2021 et elle est susceptible d’évoluer. Elle n’est pas exhaustive.
Que prélève-t-on sur mes revenus ?
Comme tous les salariés, vous versez des cotisations salariales. Votre bulletin de paye détaille les prélèvements effectués directement par votre employeur dans la colonne « à déduire ».
Ainsi, sous votre « traitement brut », vous trouvez la « retenue PC ». Les lettres « PC » sont les initiales des mots « pension civile ». Cette ligne présente donc le montant de votre cotisation retraite : il correspond à un pourcentage fixe de votre traitement brut dont il est déduit.
D’autres éléments « à déduire » apparaissent plus bas dans la même colonne, après les différentes primes et indemnités. Comme la « retenue PC », leur montant est issu de l’application d’un pourcentage. Mais à la différence de la « retenue PC », ce pourcentage ne se calcule pas seulement sur la base du traitement brut. Sont aussi prises en compte certaines primes et indemnités, voire les heures supplémentaires. Un abattement pour frais professionnels de 1,75 % est également appliqué.
Parmi ces éléments, la Contribution Sociale Généralisée (CSG) occupe deux lignes, car elle se partage entre une part « déductible » et une part « non déductible » du revenu imposable. Suivent la Contribution au Remboursement de la Dette sociale (CRDS) et la cotisation salariale pour le Régime Additionnel de la Fonction Publique (RAFP).
Autre élément dans la colonne « à déduire » : la cotisation de la mutuelle complémentaire, qui peut être prélevée directement (« précomptée ») sur votre salaire, d’où son apparition sur votre bulletin de paye. Ce n’est pas le cas pour les adhérents d’Anticipa qui règlent leur cotisation de façon autonome, indépendamment de leur bulletin de paye.
Enfin, depuis la mise en place du prélèvement de l’impôt à la source, une ligne supplémentaire en indique le montant.
Comment calculer mon salaire net ?
Pour calculer ce qui est réellement versé sur votre compte, il faut soustraire le total de la colonne « à déduire » du total de la colonne « à payer ». Ce résultat est indiqué dans la case « net à payer ».
Mais notez bien que le revenu « net à payer » n’est pas celui qu’il faut déclarer aux impôts. Le montant imposable du mois, plus élevé, est indiqué en bas à gauche du bulletin de paye. Il correspond au total du « net à payer » auquel s’ajoutent la CRDS, la CSG non déductible et, éventuellement, la cotisation de la mutuelle complémentaire ; car ces cotisations ont été prélevées avant le versement de votre salaire, mais à partir de vos revenus imposables.
Charges patronales, coût total employeur et base SS du mois : à quoi correspondent ces chiffres ?
Les charges patronales sont les cotisations payées par votre employeur. Elles contribuent au financement des allocations familiales, du fonds national d’aide au logement, de la caisse nationale de solidarité pour l’autonomie, des retraites… Elles figurent sur le bulletin de paye dans la colonne « pour information ».
Ajoutées au montant de la colonne « à payer », les charges patronales vous informent sur ce que l’État dépense pour votre poste (le « coût total employeur ») : c’est près du double de ce que vous percevez, comme pour tous les salariés.
Enfin, la « base SS du mois » indique le montant pris en compte pour le calcul des cotisations de la sécurité sociale.
Et la cotisation de la mutuelle complémentaire Anticipa ? Elle se base sur le « montant imposable de l’année », indiqué sous la ligne de la « base SS de l'année ».
Ces informations sont susceptibles d’évoluer. Pour vous renseigner sur votre situation, contactez votre correspondant de gestion via la messagerie de votre espace i-prof :
https://www.education.gouv.fr/i-prof-l-assistant-carriere-12194
Pour consulter vos bulletins de paye :
https://ensap.gouv.fr/
Pour en savoir plus sur la rémunération des enseignants :
https://www.education.gouv.fr/la-remuneration-des-enseignants-7565
Santé
Bouger ne signifie pas forcément pratiquer une activité physique intense. Au quotidien, il est facile de changer...
Publié le 05/03/2021
Lire la suiteBouger ne signifie pas forcément pratiquer une activité physique intense. Au quotidien, il est facile de changer quelques mauvaises habitudes.
Prendre l’escalier à la place de l’ascenseur, remplacer la voiture pour aller faire ses courses ou emmener ses enfants à l’école, aller se promener en forêt le week-end… autant d’occasions de bouger tous les jours.
Savez-vous que dans le cadre du programme national nutrition santé (PNNS), il est recommandé de pratiquer l’équivalent d’au moins 30 minutes de marche rapide par jour au minimum 5 fois par semaine pour les adultes et l’équivalent d’au moins 60 minutes par jour pour les enfants et adolescents ?
Tout en douceur
Il est facile de bouger régulièrement et de façon progressive. Si vous n’avez pas l’habitude de pratiquer une activité sportive, il faut laisser « du temps au temps ». Vous augmenterez vos efforts sans même vous en rendre compte :
- Changez vos circuits de promenade ;
- Descendez une station de métro ou de bus avant votre arrêt habituel ;
- Organisez-vous pour avoir le temps de marcher au quotidien.
Aller plus loin
Pendant l’hiver, pas toujours facile de se motiver pour aller pratiquer une activité extérieure. Si cela ne vous effraie pas, ce sera l’occasion de travailler l’endurance et les bienfaits seront certains en prenant quelques précautions :
- N’hésitez pas à demander l’avis à votre médecin avant de vous lancer ;
- Choisissez une tenue qui protège du froid ;
- Echauffez-vous longuement (à l’intérieur ou à l’extérieur) et pensez à vous étirer ;
- Hydratez-vous bien avant, pendant et après l’effort ;
- Etirez-vous à nouveau à la fin de votre séance.
S’il fait trop froid (à partir de -5° il y a un risque accru de blessures musculaires), restez au chaud et entrainez-vous à la maison. Une multitude d’exercices simples, efficaces et avec un minimum de matériel peuvent se pratiquer n’importe où.
Il s’agit principalement d’exercices de fitness, renforcement musculaire, Pilâtes qui s’adapteront facilement à vos besoins et à votre niveau.
Rendez-vous sur le net pour trouver des exemples d’exercices à réaliser ou pour se faire accompagner par un coach.
Le sport, c’est bon pour la santé
On ne le dira jamais assez, une des clés pour être en forme et en bonne santé, c’est la pratique d’une activité physique régulière.
Vous en retirerez très rapidement beaucoup de bénéfices :
- Plus en forme, plus de tonicité ;
- Un moral au beau fixe ;
- Moins de stress ;
- Une meilleure qualité de sommeil.
Et à plus long terme un meilleur entretien des muscles, de la souplesse, de l’équilibre et de la coordination.
Sans oublier bien sûr la préservation de votre santé en tenant à distance de nombreuses maladies, notamment les maladies cardio-vasculaires, l’hypertension artérielle, les cancers…
Pour d’autres conseils santé, rendez-vous sur https://anticipa.cnp.fr/publications
Christophe, de l’équipe ANTICIPA
Bien-être
98, 99, 100 moutons… éveillés !
Vous rencontrez des difficultés d’endormissement ? Vous vous levez fatigué ?
Publié le 09/11/2020
Lire la suite98, 99, 100 moutons… éveillés !
Vous rencontrez des difficultés d’endormissement ? Vous vous levez fatigué ?
L’équipe Anticipa, partage ses astuces avec vous, pour assurer votre rendez-vous quotidien avec Hypnos et Morphée.
Chez Anticipa notre mission est plus que jamais de vous protéger, de vous accompagner et de vous faciliter la vie au quotidien.
Absence de réflexes, troubles de la mémoire sont parfois le signe d'un repos insuffisant. Pour contrer les troubles du sommeil, adoptez quelques bonnes habitudes : du cérémonial du coucher aux boissons apaisantes, en passant par la préparation de la chambre.
1 - Et hop, une soupe et au lit !
Ce que vous mangez dans la journée, et plus particulièrement au dîner, influence la qualité de votre sommeil ! Une digestion lente va vous tenir éveillé une partie de la nuit. L’idéal est d’éviter les plats gras, en sauce, très épicés, les sodas acides…
A choisir, mieux vaut s’endormir au son d’une douce berceuse, qu’au rythme de ses borborygmes.
2 - Des tisanes aux plantes, vous boirez
Vous avez l’habitude de boire une boisson chaude après le diner ? Préférez une infusion ou une tisane aux plantes, car le thé et la café sont des excitants. Certaines plantes sont indiquées pour favoriser le sommeil, telles la valériane, la camomille, le tilleul, la verveine… En cas de doute, un pharmacien ou un médecin pourra vous renseigner.
3 - Comme on fait son lit, on se couche
Au sens propre du terme, prenez le temps de choisir une literie de qualité. Que vous la préfériez souple ou ferme, peu importe, elle doit avant tout vous convenir… Veillez à ne pas surchauffer votre chambre : la température idéale se situe autour de 18°C. N’oubliez pas que votre chambre, à la déco épurée (idéalement), doit être aérée une fois par jour pour diminuer la pollution intérieure.
Toutes ces conditions réunies allez vous coucher sans tambours ni trompettes ; le bruit et la luminosité ne favorisant pas l’endormissement.
4 - Vos paupières sont lourdes ...
Si vous prêtez attention à quelques indices (bâillement, larmoiement et picotement des yeux) et vous mettez au lit dès qu’ils surviennent, vous serez au rendez-vous du marchand de sable. Votre organisme programme des mécanismes qui vous permettent de trouver le sommeil. Ces signes indiquent que tout est prêt et que c’est le moment idéal.
Alors ne résistez pas car, avant l’heure ce n’est pas l’heure, mais après l’heure ...
5 - La qualité n’est pas un acte, c’est une habitude
La lecture, l’écriture, les exercices de relaxation ou de sophrologie, la méditation, ou de la musique douce… quelle que soit votre activité zen préférée, pratiquez-la dans l’heure précédant votre coucher. Comme chez les tout-petits, soir après soir, s’installera un rituel qui conditionnera votre cerveau au sommeil ; le délai d’endormissement s’en trouvera diminué.
Bonne nuit les petits !
Cathy, de l’équipe ANTICIPA
Bien-être
3 astuces pour réussir votre pique-nique en un tour de main.
Sans revenir sur ce qui nous fait tant apprécier notre liberté de...
Publié le 06/09/2020
Lire la suite3 astuces pour réussir votre pique-nique en un tour de main.
Sans revenir sur ce qui nous fait tant apprécier notre liberté de circuler, l’été généralement propice aux journées en plein air aura eu, cette année, le goût des joies simples.
Alors, pourquoi ne pas continuer à en profiter si la météo de Septembre le permet ?
Chez Anticipa nous aimons vous savoir heureux ; et pour cette rentrée, nous continuons à vous accompagner et à partager nos conseils de bien-être au quotidien.
La réussite d’une journée passée à la plage, en forêt, à la campagne ou au parc, réside tout autant dans le choix des activités que dans la composition du repas. Sans toutefois se lancer dans des recettes fastidieuses, le pique-nique mérite qu’on s’attarde sur sa préparation.
Avec ou sans les mains ?
C’est précisément la question à se poser avant de composer son pique-nique.
Avec des assiettes et des couverts, c’est la farandole des salades qui s’offre à vous. Verte, associée à des céréales, des graines, du fromage, des œufs… votre imagination n’a pas de limite.
Préférez les sandwichs, cakes, quiches, bâtonnets de légumes, pour une dégustation avec les doigts.
Une fois cette question réglée, il ne vous reste plus qu’à composer votre pique-nique.
On mange quoi ?
Même en pique-nique, quelques règles alimentaires sont à respecter, histoire que ce repas ne pèse pas sur vos performances sportives au badminton !
Les sandwichs gagnent en fraîcheur et en couleur. Quelques feuilles de salade, des crudités et une sauce laitière ; il ne reste plus qu’à choisir votre pain. De même, les salades se musclent avec des graines, des céréales, des légumes secs et un assaisonnement original ; le tour est joué !
Pour le dessert, basez-vous sur la composition du plat. Après une quiche au saumon, proposez une salade de fruits, tandis qu’une tarte aux fraises peut succéder à un carpaccio de tomates.
Besoin de réviser vos connaissances en matière de « bien manger » ? Rendez-vous sur le site mangerbouger.fr du Programme National Nutrition Santé. Vous y trouverez même des idées et des recettes pour votre pique-nique.
Chaud, devant !
La meilleure alliée du pique-nique réussi est la glacière, voire même LES glacières !
Une pour la boisson et une pour la nourriture afin de limiter l’ouverture de la glacière contenant la nourriture et garder ainsi son contenu froid, plus longtemps.
Sans nul doute, vous trouverez la glacière idéale parmi les modèles du marché. C’est la contenance et l’usage qui guideront votre choix, car la glacière à transporter à la plage sera peut-être moins pratique à porter lors d’une promenade en forêt…
Cathy, pour l’équipe ANTICIPA
Bien-être
7h, 12h, 20h : à table !
Il est parfois difficile de tenir sans craquer entre les 3 repas de la journée.
Grâce à nos...
Publié le 03/07/2020
Lire la suite7h, 12h, 20h : à table !
Il est parfois difficile de tenir sans craquer entre les 3 repas de la journée.
Grâce à nos astuces, vous serez mieux armés pour lutter contre votre obsession de 10h, pour des friandises !
Chez Anticipa notre mission est plus que jamais de vous protéger, de vous accompagner et de vous faciliter la vie au quotidien.
Collation ou goûter ? Le terme employé importe peu. Ils sont approuvés par les experts en nutrition dès lors que les règles alimentaires sont respectées.
Et en cas de doute, vous retrouverez lesdites règles sur le site mangerbouger.fr du Programme National Nutrition Santé.
J’ai faim !!!
Si vous petit-déjeunez tôt, rien d’anormal à ressentir un creux en milieu de matinée.
Prendre une collation éviterait que, sous l’assaut d’une fringale, votre esprit se focalise sur les friandises apportées par votre collègue, dans le bureau d’à côté ou dans la salle des profs.
Il en va de même entre le déjeuner et le dîner, qui parfois sont espacés de… 8 heures ! Dans ce cas, goûter apaiserait votre irrépressible envie de dévorer tout et n’importe quoi, avant le dîner.
Tout ceci, sans aucun danger pour votre ligne car, à la différence du grignotage, les collations et les goûters sont des petites pauses MAI.TRI.SÉES !
Maîtriser c’est anticiper
Évidemment un peu d’organisation s’impose.
Premièrement, il est important de préparer collation et goûter à l’avance afin d’en prévoir le contenu, en veillant à ne pas ajouter un apport énergétique supplémentaire à votre organisme. L’idée est de répartir l’apport journalier sur l’ensemble des repas pris dans la journée, y compris les pauses.
Deuxièmement, il faut penser à les glisser dans son sac. Et c’est tout !
Vous admettrez que c’est bien peu de chose pour goûter (sans jeu de mots et sans culpabilité) à ces pauses, autour d'une boisson (chaude, froide, à bulles…), d'un aliment croquant (plus on mâche moins on a faim) et d'un élément gourmand (pour le plaisir).
Protection bien ordonnée commence par soi-même
Chez Anticipa, les membres de l’équipe se répartissent en 3 groupes : les adeptes de la collation matinale, du goûter et ceux à qui les 3 repas principaux suffisent. Comme vous, nous sommes différents, et nos besoins ne sont pas les mêmes.
Retenons que si une collation ou un goûter ne sont pas mauvais pour la santé, ils ne sont pas non plus obligatoires.
Cathy (adepte du goûter), pour l’équipe ANTICIPA